Que vous restiez en France ou que vous partiez, ce qui importe c'est que vous ayez des enfants et que vous prêchiez la bonne parole.
Rester en France, c'est lutter sur le terrain et faire face à tous les périls, honorer la terre de ses ancêtres. Mais c'est la garantie de faire becter des nègres en étant surtaxé et se battre pour un peuple qui, même quand il était homogène et que toute l'Europe était fasciste, décidait de voter pour un juif communiste et déclarer la guerre aux nazis.
Partir, c'est quitter la France. Quelque part, c'est fuir, si l'on veut. Mais en ce sens on est un missionnaire raciste, on témoigne de l'enfer que constitue notre cloaque rempli de judéo-négro-macaques et on fait tout pour éviter que cela s'exporte ; on peut gagner du fric plus facilement (selon l'endroit) et on peut élever souvent plus sereinement aussi. Par ailleurs on peut très bien considérer — et c'est ce à quoi je souscris en tant que Français de souche non-expatrié — que le modèle nationaliste du XIXe siècle est tout à fait dépasser et que vivre ici ou ailleurs, pour un Blanc qui veut survivre, n'a plus tellement d'importance sur le plan symbolique de défense d'une patrie à moitié crevée, dont l'émanation officielle est la cinquième incarnation d'une putain nommée République qui aujourd'hui a pour objectif principal de censurer, ponctionner, ruiner ses citoyens autochtones pour attirer toute la merde de la planète qu'on nous place ensuite sur un piédestal parce qu'ils arrivent à taper dans un ballon sur de l'herbe.